L'histoire de la Nativité racontée par 30 enfants de la région de Neuchâtel et du Nord-Vaudois.
Dans ce court-métrage de 9 minutes, Marie et Joseph vivent un Noël quelque peu différent, on pourrait dire un drôle de Noël.
Pour en savoir plus : http://donnersens.org/noel
Si vous souhaitez découvrir un aspect de la pensée protestante ou approfondir votre réflexion biblique et théologique, les pasteurs vous proposent sept séances en soirée les mercredis de janvier et février 2013 au Temple de l'Étoile.
Les séances ont lieu au 56, avenue de la Grande Armée, 75017 Paris, de 20h30 à 22h30. Le cycle représente un ensemble cohérent et est à suivre en intégralité. Il est ouvert à tous, sans préalable d’appartenance religieuse. Les séances sont dirigées alternativement par Florence Blondon et Louis Pernot, pasteurs de l'Église Protestante Unie de l'Étoile. Au cours de chaque séance, un temps important est prévu pour répondre aux questions des participants. Merci de vous inscrire pour pouvoir participer auprès de Florence Blondon.
Notre voisine, la paroisse catholique Saint-Ferdinand des Ternes, accueille cette année encore J. et J. pour dîner et dormir dans les locaux de l'église. Deux autres personnes sans domicile viendront les rejoindre.
Tous les quatre progresseront en sociabilité, chacun à son rythme, Hiver Solidaire pouvant constituer plus ou moins rapidement un marchepied pour intégrer un foyer social.
Nous sommes comme l'année dernière invités à les aider. La part que chacun de nous prendra à cette œuvre est totalement à la carte : un seul dîner apporté, une seule nuit passée, un seul petit-déjeuner partagé permettent déjà à Hiver Solidaire d'avoir lieu et à ces quatre sans-abris de trouver un peu de chaleur au cœur de l'hiver. C'est aussi pour chacun d'entre nous l'occasion de partager de vraies rencontres avec ceux qui vivent dans nos rues.
Hiver Solidaire se déroule du 8 décembre à début mars. On peut y participer en portant ou en partageant un repas (de 19h à 21h30), en dormant sur place (de 21h à 7h), en petit-déjeunant (de 7h à 7h30), en faisant le ménage (de 7h30 à 8h) ou en lavant du linge.
Le dîner, la nuit et le petit-déjeuner ont lieu dans les locaux en sous-sol de l'église Saint-Ferdinand des Ternes. On y accède par une porte au pied des marches de l'église à droite, au 5, rue Saint-Ferdinand, 75017 Paris.
Pour tout renseignement : Laure Corbasson pour l'Étoile, Sylvie Kuhn (06 25 44 96 37) pour la coordination globale.
S'il y a chez toi un pauvre parmi tes frères, dans l'une de tes villes, dans le pays que le Seigneur, ton Dieu, te donne, tu ne t'entêteras pas et tu ne fermeras pas ta main à ton frère pauvre ; tu lui ouvriras ta main et tu lui prêteras de quoi pourvoir à ses besoins.
Deutéronome, 15:7-8
À partir de la lecture de textes bibliques, mais également de textes d’actualité, nous essaierons dans un dialogue avec nous-mêmes, entre nous, avec les textes, de comprendre les fondements et les implications de nos engagements dans un monde contemporain qui nous fait osciller entre impuissance (tout est déjà joué) et toute-puissance (nous sommes des hommes et des femmes « augmenté(es) »Le midi, repas partagé fait par tous et pour tous. Boissons et cafés sont fournis.
D'où vient le mal ? D'où vient que nous fassions le mal ? Chez Paul Ricoeur, méditer le mal, c'est dire une faille. Car la liberté de l'homme est sommée d'exister devant le mal. Ce petit texte compte dans l'immense oeuvre de ce philosophe qui ne se dit pas théologien, mais dont la pensée fait volontiers quelques cousinages avec certains aspects du protestantisme. Un homme qui a pensé la vulnérabilité au mal moral avec une profondeur et une délicatesse exemplaires.
Dans cette très belle méditation, un philosophe se débat avec l'espérance de survivre, tout en se trouvant dans l'impossibilité intellectuelle et spirituelle d'acquiescer à toute vision naïve d'un autre monde qui serait le monde en double, ou la copie, de ce monde-ci. Il faut faire le deuil de toute image, de toute représentation. C'est en 1996 que Paul Ricoeur, âgé de 83 ans, pose la question: "Que puis-je dire de ma mort?" Comment "faire le deuil d'un vouloir-exister après la mort" ? Cette longue réflexion sur le mourir, sur le moribond et son rapport à la mort, également sur l'après-vie (la résurrection), passe par deux médiations: des textes de survivants des camps (Semprun, Levi) et une confrontation avec un livre du grand exégète Xavier Léon-Dufour sur la résurrection. La seconde partie du livre est faire de textes écrits en 2004 et 2005, que le philosophe a lui-même appelés "fragments " (sur le "temps de l'œuvre" et le "temps de la vie", sur le hasard d'être né chrétien, sur l'imputation d'être un philosophe chrétien, sur la controverse, sur Derrida, sur le Notre Père...). Textes courts, rédigés parfois d'une main tremblante, alors qu'il est déjà très fatigué. Le dernier, de Pâques 2005, a été écrit un mois avant sa mort.Et j'ai ajouté un petit livre de poche, que j'avais oublié d'évoquer :
La cause est en général entendue : c'est "amour ou justice", mais non pas "amour et justice". Dans le langage courant, et même à un niveau de réflexion plus élevé, a fortiori quand les deux concepts sont présentés en conflit, il n'y a pas, il ne peut pas y avoir de ponts entre la pratique individuelle de l'amour du prochain et la pratique collective de la justice qui établit l'égalité et l'équité. Qu'on favorise l'une ou l'autre, l'insistance va à la disproportion entre amour et justice. Toute la réflexion de Paul Ricoeur tend à démontrer la proportion, les liens, la dialectique très profonde, la tension vivante et féconde entre amour et justice qui se fait jour au moment de l'action, que l'un et l'autre revendiquent. Tous deux sont pris clans une économie du don qui déborde de toute part l'éthique dont ils se veulent les figures et dont ils se sentent responsables. Une logique de la surabondance vient toujours mettre au défi, sans jamais la rendre moins nécessaire, une logique de l'équivalence. Publiée d'abord en Allemagne, en édition bilingue, cette réflexion est inédite en français. Elle est complétée par deux articles du Fonds Ricoeur sur des thèmes proches.Florence
Exceptionnellement, pas de balade le dimanche 1er avril. Mais une belle surprise à venir au joli mois de mai !
Vous pourrez aussi profiter du concert d'orgue et violon donné à 17h au temple, avec au programme des œuvres de J. Alain, C. Franck, R. Schumann et J. Svendsen. :
Le culte de 18h30 sera assuré par Louis Pernot, avec une prédication sur le thème du poisson d'avril (et ce n'est pas une blague !) et un baptême d'adulte.
Un petit pot de l'amitié suivra le culte.
Le dîner sera ensuite à 20h avec Florence Blondon, sur le thème du baptême.
À dimanche !
Le vendredi 6 avril à 20h30, la chorale de l'Étoile fait son concert annuel ; un moment de grande musique et d'émotion !
Seront au programme cette année : Stabat Mater de Francis Poulenc et Los Improperios de Federico Mompou, deux belles œuvres chorales contemporaines sur le thème de la Passion du Christ.
Certains d'entre nous seront parmi les choristes, nous vous attendons donc nombreux !
Vendredi 23 mars à partir de 20h30, l'église retentira aux sons du gospel pour un concert de la chorale Gospel Colors au profit de Schizo ? … oui ! et des recherches sur la schizophrénie de la Fondation pour la recherche médicale.
L'occasion d'aider la recherche tout en profitant d'un concert de qualité, où vous retrouverez peut-être une voix du groupe des jeunes actifs !
Entrée libre.
Nous vous attendons nombreux !
Bouddhisme, Zen, Hindouisme, des mots qui nous renvoient directement à l'Asie, à ses religions, à ses cultures.
Le premier dimanche du mois de mars sera pour nous l'occasion de les explorer.
Rendez-vous donc le 4 mars à 14h au Musée Guimet pour une plongée à la découverte des arts asiatiques.
Nous visiterons une partie du musée (dont les collections d'arts asiatiques sont les plus riches au monde hors Asie), le Panthéon bouddhique ainsi que le jardin japonais. Une halte thé est également fort probable, histoire de prolonger agréablement l'expérience extrême-orientale !
De quoi alimenter le dîner du soir en observations et commentaires sur un continent important mais méconnu, qui accueille des civilisations à la fois proches et lointaines, d'une richesse culturelle et cultuelle étonnante…
Comme chaque premier dimanche du mois, l'accès à ce musée national sera gratuit pour tous.
Le culte du soir sera assuré par Louis Pernot, à 18h30 au temple.
Le dîner-débat, autour des religions asiatiques, sera à 20h avec Louis Pernot toujours.
À dimanche !
Dans la suite de notre dîner d'octobre qui avait connu un grand succès, le pasteur Louis Pernot et l'animateur de Fréquence protestante Jacques Fischer ont consacré 5 émissions au Notre Père, chaque dimanche midi de janvier.
Vous pouvez les retrouver ici :
Pour ce dimanche 5 février, petit changement de programme par rapport à ce que nous avions pu prévoir, car les intervenants envisagés à cette date n'ont pu se libérer. (Mais ce n'est que partie remise !)
Florence nous propose donc d'échanger autour du thème suivant, qu'elle a abordé récemment en conférence : Service de l'autre : action, contemplation, faut-il choisir ?
Un thème qu'elle connaît bien, vous verrez !
Concernant les aspects pratiques, petit planning de cette journée :
Merci à Magali (pour la garniture du salé et son appareil), Laure S. (qui nous ramène des über-crêpes sucrées) et Loïc (un autre appareil et la pâte à galette, en compagnie de votre serviteur).
À dimanche !
Thomas
Le politique peut-il tenir parole ?et comme intervenants :
Le samedi 21 janvier 2012 à 20h30 sera un moment un peu particulier à l'Étoile : l'ensemble du Bout des Doigts investit le temple pour chanter l'opéra au cœur du public. L'opéra comme si vous y viviez !
L'entrée est libre, et l'originalité de la démarche n'enlève rien aux qualités musicales du jeune ensemble : de quoi satisfaire chacun, des plus rétifs à l'opéra qui y trouveront une occasion d'en découvrir de nouvelles facettes (et peut-être, qui sait, de réviser leur opinion !), aux plus exigeants des auditeurs qui y trouveront tout à la fois rigueur et précision, subtilité et présence, joie et émotion, complicité et élégance, sensibilité et envergure.
Je ne vous en dis pas plus : leurs représentations, saluées par la presse, parlent (ou plutôt chantent !) d'elles-mêmes ; vous en trouverez un extrait plus bas (bien qu'un enregistrement fasse toujours pâle figure par rapport à l'expérience du direct).
Au plaisir de vous y retrouver !
L'ensemble du Bout des Doigts a vu le jour au cours de l'été 2007 grâce à une envie commune de redécouvrir de façon innovante les plus belles pages du répertoire lyrique.
Formation à géométrie variable, il offre une écoute chambriste à l'auditeur, par une mise en espace créée autour et avec le public.
Par cette nouvelle proximité, l'auditeur se retrouve en interaction physique et émotionnelle avec l'interprète.
La scène, la fosse, le parterre ne sont plus.
Il ne reste que l'interprète et le spectateur, tous réunis dans un seul et même espace.
L'opéra pour tous et en tout lieu.
![Cimabue – Basilica superiore di San Francesco d'Assisi [Italia]](http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Cimabue01.jpg){kind=link}
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